Alors que la foule se presse à nouveau chez traiteurs, volaillers ou écaillers, les résultats d’une étude Ifop/Upsa viennent nous éclairer sur le rapport de nos concitoyens avec ces repas incontournables en fin d’année et touchant parfois au pantagruélique.
Cette étude nous enseigne que, pour 61 % des Français, les fêtes de fin d’année leur procurent plaisir et joie, tandis que pour 15 % d’entre eux, elles sont plutôt synonymes de stress et d’angoisse. Et quel est le moment privilégié, le moment phare de cette période ? Le repas, ou plutôt les repas, pour 93 % d’entre nous, bien conscients des excès, bien sûr, mais heureux tout de même. Et là, à chacun sa méthode, promenade digestive ou sieste, pour un tiers, médicament ou tisane… La moitié des Français s’autorisent ces débordements, car ils sont exceptionnels et 35 % craquent tout en sachant qu’ils vont le regretter plus tard. Cela dit, ces excès de table, dans certains cas provoqués par un environnement familial ou amical, sont vécus comme une contrainte par 29 % des Français qui, sans doute, n’osent pas refuser et passer pour des rabat-joie.
En tout cas, seuls 7 % de nos concitoyens ne font pas de repas spéciaux pendant les fêtes. Les autres concoctent des menus plus élaborés qu’à l’ordinaire et pour 41 % c’est l’occasion de faire vraiment un festin, de mettre les petits plats dans les grands. Et si les suites sont quelque peu pénibles, nous ne manquerons pas dans quelques jours de vous donner quelques conseils d’après-festin !
Source. Bristol-Myers Squibb / Bien-être & Santé
A.Brule
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