En France, un tiers des dépressions ne pourrait être traité par une médication adéquate. Selon une recherche conduite par une équipe franco-canadienne, la gravité des dépressions serait corrélée à la présence d’une protéine spécifique dans le sang.
Un traitement innovant, à l’essai sur des souris
Les chercheurs ont testé sur des souris un potentiel traitement visant à contrer l’action de la protéine.
Ce traitement novateur agirait donc de l’intérieur de la cellule, en modifiant directement l’information transmise par la protéine, à l’inverse des médicaments classiques qui agissent de l’extérieur en modifiant les informations arrivant à la cellule.
De futurs développements restent à prévoir avant une possible utilisation chez l’homme.
Sophie de Duiéry
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