Si le préservatif est le moyen de contraception privilégié par les jeunes, pour près de la moitié des étudiants et près de 20% des lycéens ayant des rapports sexuels, le port du préservatif n’est pas toujours systématique.
La pilule comme moyen de contraception
Selon l’étude menée par Opinion Way pour la SMEREP, près de 6 étudiantes sur 10 et 27% des lycéennes optent pour la pilule comme moyen de contraception. Pourtant 14% d’entre elles n’ont pas confiance en ce mode de contraception.
Un impact négatif sur la santé
26% des étudiantes pensent que la pilule aurait un impact négatif sur leur santé. 40% d’entre elles ne prennent pas la pilule contraceptive lorsqu’elles n’ont pas de rapports sexuels réguliers.
Les étudiants sont également 3% à justifier leur non-prise de pilule par le fait que celle-ci soit trop chère.
Le risque des rapports sexuels non protégés
Les infections sexuellement transmissibles (IST), qui se transmettent principalement lors de rapports sexuels non protégés, sont en recrudescence. Les infections à chlamydia et à gonocoque, très contagieuses ont triplé entre 2012 et 2016.
Didier Galibert
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